Sylvie Retailleau à l'UPJV "pour s'inspirer des bonnes pratiques"
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Le 28 octobre 2022, l'UPJV a accueilli à Amiens Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Les thématiques abordées lors de cette visite, parsemée de rencontre avec plusieurs étudiants : conditions de vie et précarité étudiante, violences sexistes et sexuelles, inclusion et engagement.
Sylvie Retailleau à l'UPJV
Une après-midi auprès d'étudiants pour "s'inspirer du concret", "rencontrer" et "entendre des témoignages". Le 28 octobre 2022, Sylvie Retailleau s'est rendue au Pôle Citadelle, à Amiens, pour faire le point sur la vie étudiante et les grands projets menés depuis la rentrée et toute l'année à l'UPJV. Pour l'occasion, un programme dense avait été imaginé : partage d'expériences d'étudiants autour de l'engagement et de sa valorisation au cours du cursus universitaire, solidarité, inclusion par le sport, opérations de prévention et de sensibilisation menées notamment par les étudiants relais-santé du Service de Santé Universitaire... Au fil des différents ateliers et des discussions, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a pu entrevoir le panorama des différentes actions menées auprès de communauté étudiante.
"Ce que vous faites ici, à l'UPJV, est un très bon exemple de ce qui peut se faire et qui fonctionne au niveau local. Mon but, en venant ici, est de m'inspirer de ces bonnes pratiques pour ensuite tenter de les appliquer à l'échelle nationale, affirme la ministre. L'université est le lieu où les jeunes changent de statut : anciens lycéens devenus nouveaux étudiants, toutes et tous deviennent citoyens. Et le rôle de l'université, comme cela est très bien démontré à l'UPJV, est d'aider chacun sur ce chemin de la citoyenneté."
"Face aux violences sexuelles et sexistes, les étudiants ne sont pas seuls"
Au cours de sa visite la ministre n'a éludé aucun sujet. Restauration universitaire, précarité étudiante, aides à harmoniser et faire perdurer... Lors de chaque entretien, Sylvie Retailleau a tenu à rappeler l'engagement de l'État auprès des étudiants. Face aux membres d'associations ou réservistes, elle a pu mesurer l'importance de l'engagement - valorisé dans le cadre d'une unité d'enseigment dédié -, de l'insertion par le sport - avec les organisateurs de la Journée Amiénoise du Sport et du Handicap (JASH) -, de la lutte contre la précarité avec les bénévoles de l'AGORAé...
Sujet d'importance, abordé dans une table ronde spéciale et avec la présence d'élus et de responsables associatifs : les violences sexistes et sexuelles. Après avoir annoncé le doublement du budget de lutte contre les violences sexuelles dans l'enseignement supérieur, passant de 1,7 M€ à 3,5 M€, Sylvie Retailleau a confirmé que l'UPJV avait été retenu dans le cadre de l'appel à projets "Soutien aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles".
"L'idée que je défends est celle de favoriser les échanges entre étudiants et université. Il nous faut, tous ensemble, développer des idées nouvelles et partager les bonnes formules pour assurer aux victimes qu'elles ne sont pas seules. Je salue d'ailleurs leur courage, conclut la ministre, qui a été informée de la mise en place d'une cellule de veille dédiée. Dans cette lutte contre les VSS, menée ici à l'UPJV comme partout en France, il nous faut continuer, renforcer nos initiatives communes pour libérer la parole." Et, ainsi, offrir l'opportunités aux étudiants de vivre sereinement leurs parcours universitaires.
"Ce que vous faites ici, à l'UPJV, est un très bon exemple de ce qui peut se faire et qui fonctionne au niveau local. Mon but, en venant ici, est de m'inspirer de ces bonnes pratiques pour ensuite tenter de les appliquer à l'échelle nationale, affirme la ministre. L'université est le lieu où les jeunes changent de statut : anciens lycéens devenus nouveaux étudiants, toutes et tous deviennent citoyens. Et le rôle de l'université, comme cela est très bien démontré à l'UPJV, est d'aider chacun sur ce chemin de la citoyenneté."
"Face aux violences sexuelles et sexistes, les étudiants ne sont pas seuls"
Au cours de sa visite la ministre n'a éludé aucun sujet. Restauration universitaire, précarité étudiante, aides à harmoniser et faire perdurer... Lors de chaque entretien, Sylvie Retailleau a tenu à rappeler l'engagement de l'État auprès des étudiants. Face aux membres d'associations ou réservistes, elle a pu mesurer l'importance de l'engagement - valorisé dans le cadre d'une unité d'enseigment dédié -, de l'insertion par le sport - avec les organisateurs de la Journée Amiénoise du Sport et du Handicap (JASH) -, de la lutte contre la précarité avec les bénévoles de l'AGORAé...
Sujet d'importance, abordé dans une table ronde spéciale et avec la présence d'élus et de responsables associatifs : les violences sexistes et sexuelles. Après avoir annoncé le doublement du budget de lutte contre les violences sexuelles dans l'enseignement supérieur, passant de 1,7 M€ à 3,5 M€, Sylvie Retailleau a confirmé que l'UPJV avait été retenu dans le cadre de l'appel à projets "Soutien aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles".
"L'idée que je défends est celle de favoriser les échanges entre étudiants et université. Il nous faut, tous ensemble, développer des idées nouvelles et partager les bonnes formules pour assurer aux victimes qu'elles ne sont pas seules. Je salue d'ailleurs leur courage, conclut la ministre, qui a été informée de la mise en place d'une cellule de veille dédiée. Dans cette lutte contre les VSS, menée ici à l'UPJV comme partout en France, il nous faut continuer, renforcer nos initiatives communes pour libérer la parole." Et, ainsi, offrir l'opportunités aux étudiants de vivre sereinement leurs parcours universitaires.
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