[Portrait] Andrés Leal, amoureux de la France et du français
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Arrivé en septembre 2021 à l’UPJV pour un semestre d’études, Andrés Leal a prolongé sa mobilité Erasmus+ jusqu’à la fin de l'année universitaire 2022. Coup de cœur pour la France !
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« J’adore la sonorité de la langue française. Quand j'étais enfant, ma famille française venait me rendre visite tous les étés. Je les écoutais, et je ne rêvais que d’une chose : parler le français ! ». L’attirance d’Andrés pour la langue française ne date pas d’hier. Fervent admirateur de cette langue « chantante » à ses oreilles, l’étudiant espagnol de 21 ans a profité d’une convention d’échanges Erasmus + entre l’UPJV et son établissement d’origine, l’Université de Grenade, pour venir pratiquer la langue au contact des natifs.
Étudiant en Master 1 Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF) à l’INSPÉ de l’UPJV, Andrés aspire à devenir professeur des écoles. « Petit, j’aimais jouer au professeur avec mes cousins, et au lycée, c’était toujours un plaisir de transmettre mes connaissances à mes camarades. Après le bac, je me suis orienté vers des études en sciences de l’éducation. Le métier de professeur était comme une évidence pour moi ». Actuellement en stage à l’école maternelle La Pépinière et à l’école primaire Saint-Maurice à Amiens, Andrés se projette déjà précisément dans ses fonctions de professeur. « Je voudrais développer une didactique basée sur le jeu pour que les enfants aiment apprendre à l’école… même les mathématiques ! ».
La richesse de l’expérience Erasmus +
L’aventure Erasmus permet à Andrés de poursuivre son cursus en sciences de l’éducation tout en améliorant son niveau de français, en s’entrainant au Centre FLE du Pôle Citadelle ou en fréquentant des camarades amiénois. Mais se faire des amis en quelques mois n’est pas toujours facile quand on est expatrié. « Au premier semestre, dans ma résidence universitaire, on était une vingtaine d’espagnols et au début, j’étais beaucoup avec eux. J’avais des appréhensions à me faire des amis français, car en Espagne on dit que les Français sont trop froids, fermés ». C’est un voyage en Normandie organisé par la promotion de son Master qui brise la glace. Andrés se lie d’amitié avec des français et embrasse pleinement sa mobilité.
« Je suis vraiment attaché à la culture et au mode de vie français. En Espagne, la chaleur impose des journées tardives. Ici, le climat tempéré te permet de profiter de tes amis et de tes loisirs en fin de journée et en soirée. C’est un rythme de vie qui me convient beaucoup mieux. Ma vie a complètement changé depuis que je suis en France. » Conquis par les avantages de la vie à la française, Andrés a demandé à prolonger sa mobilité pour finir son année de Master 1 en France. « Je préfère le fonctionnement de l’enseignement supérieur en France, avec le contrôle des connaissances en continu. J’ai obtenu d’excellents résultats au premier semestre. Je ne l’ai pas encore dit à mes parents, mais je pense de plus en plus à rester aussi l’année prochaine. Et pourquoi pas enseigner en France à la fin de mes études ! ».
En attendant de prendre sa décision, Andrés s’intègre de plus en plus à Amiens, notamment grâce à son petit ami français « Il m'apprend les mots et expressions courantes et me fait découvrir les plats typiques. C’est une relation très enrichissante ! ». L’amour, facteur de réussite d’une mobilité internationale ?
Étudiant en Master 1 Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF) à l’INSPÉ de l’UPJV, Andrés aspire à devenir professeur des écoles. « Petit, j’aimais jouer au professeur avec mes cousins, et au lycée, c’était toujours un plaisir de transmettre mes connaissances à mes camarades. Après le bac, je me suis orienté vers des études en sciences de l’éducation. Le métier de professeur était comme une évidence pour moi ». Actuellement en stage à l’école maternelle La Pépinière et à l’école primaire Saint-Maurice à Amiens, Andrés se projette déjà précisément dans ses fonctions de professeur. « Je voudrais développer une didactique basée sur le jeu pour que les enfants aiment apprendre à l’école… même les mathématiques ! ».
La richesse de l’expérience Erasmus +
L’aventure Erasmus permet à Andrés de poursuivre son cursus en sciences de l’éducation tout en améliorant son niveau de français, en s’entrainant au Centre FLE du Pôle Citadelle ou en fréquentant des camarades amiénois. Mais se faire des amis en quelques mois n’est pas toujours facile quand on est expatrié. « Au premier semestre, dans ma résidence universitaire, on était une vingtaine d’espagnols et au début, j’étais beaucoup avec eux. J’avais des appréhensions à me faire des amis français, car en Espagne on dit que les Français sont trop froids, fermés ». C’est un voyage en Normandie organisé par la promotion de son Master qui brise la glace. Andrés se lie d’amitié avec des français et embrasse pleinement sa mobilité.
« Je suis vraiment attaché à la culture et au mode de vie français. En Espagne, la chaleur impose des journées tardives. Ici, le climat tempéré te permet de profiter de tes amis et de tes loisirs en fin de journée et en soirée. C’est un rythme de vie qui me convient beaucoup mieux. Ma vie a complètement changé depuis que je suis en France. » Conquis par les avantages de la vie à la française, Andrés a demandé à prolonger sa mobilité pour finir son année de Master 1 en France. « Je préfère le fonctionnement de l’enseignement supérieur en France, avec le contrôle des connaissances en continu. J’ai obtenu d’excellents résultats au premier semestre. Je ne l’ai pas encore dit à mes parents, mais je pense de plus en plus à rester aussi l’année prochaine. Et pourquoi pas enseigner en France à la fin de mes études ! ».
En attendant de prendre sa décision, Andrés s’intègre de plus en plus à Amiens, notamment grâce à son petit ami français « Il m'apprend les mots et expressions courantes et me fait découvrir les plats typiques. C’est une relation très enrichissante ! ». L’amour, facteur de réussite d’une mobilité internationale ?
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