Le Labo
Habiter le Monde est une équipe pluridisciplinaire, composée d’anthropologues, de géographes et de sociologues, qui participent à une réflexion sur la conceptualisation de l’habiter.
Habiter est une expérience humaine multidimensionnelle. On habite des lieux et des temporalités, des représentations et des imaginaires, des pratiques, mais aussi un corps et une langue, aussi bien qu’on est habité par eux. On habite avec d’autres, humains et non humains, avec lesquels nous entretenons des liens réels et/ou virtuels.
Ainsi ce qui réunit les chercheurs de cette équipe, malgré une diversité de thématiques, est une attention portée à la dimension spatiale, à l’ancrage des pratiques, des discours et des représentations dans des lieux, dans des territoires ou dans les circulations qui les dépassent ou les unissent. Cette approche s’inscrit à différentes échelles, des interactions du quotidien aux circulations mondialisées. Les processus identitaires, les constructions patrimoniales, les créations, les inventions, les recyclages et les bricolages sont toujours situés, y compris parfois dans un monde pensé comme des ensembles d’espaces et de natures, d’humains et de non-humains, tous interdépendants mais souvent hiérarchisés. Il convient donc de ne jamais négliger les inégalités sociales, ethniques, raciales et genrées.
L’équipe se retrouve aussi dans une démarche méthodologique empirique et inductive, et dans un intérêt à expérimenter de nouvelles formes d’écritures de la recherche et de sa restitution.
Le Labo
Habiter le Monde est une équipe pluridisciplinaire, composée d’anthropologues, de géographes et de sociologues, qui participent à une réflexion sur la conceptualisation de l’habiter. Elle a été créée en 2014 par un géographe, Olivier Lazzarotti.
Habiter est une expérience humaine multidimensionnelle. On habite des lieux et des temporalités, des représentations et des imaginaires, des pratiques, mais aussi un corps et une langue, aussi bien qu’on est habité par eux. On habite avec d’autres, humains et non humains, avec lesquels nous entretenons des liens réels et/ou virtuels.
Ainsi ce qui réunit les chercheurs de cette équipe, malgré une diversité de thématiques, est une attention portée à la dimension spatiale, à l’ancrage des pratiques, des discours et des représentations dans des lieux, dans des territoires ou dans les circulations qui les dépassent ou les unissent. Cette approche s’inscrit donc à différentes échelles, des interactions du quotidien aux circulations mondialisées. Les processus identitaires, les constructions patrimoniales, les créations, les inventions, les recyclages et les bricolages sont toujours situés, y compris parfois dans un monde pensé comme des ensembles d’espaces et de natures, d’humains et de non-humains, tous interdépendants. Mais souvent hiérarchisés, il convient donc de ne jamais négliger les inégalités sociales, ethniques et raciales, ainsi que genrées.
L’équipe se retrouve aussi dans une démarche méthodologique qui est empirique et inductive, et dans un intérêt à expérimenter de nouvelles formes d’« écritures » de la recherche et de sa restitution.
Membres statutaires
Membres associés
Doctorants